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Avec l'album Je voudrais qu'on m'écoute, Gabrielle Vincent a mis en scène l'incommunication qui peut avoir cours au sein de la famille. Elle poursuit ici son propos : la petite fille qui fuyait dans la forêt se réfugie cette fois dans un jardin abandonné, proche d'un grand château vide, pour écrire dans son cahier ce qu'elle n'a jamais osé dire à ses parents.